DJ Pierre Kaspar (Dijon), Adam Pieronczyyk Trio (Pologne), Fisz (Pologne), Skalpel (Pologne), Jacques Didonato « Fogo » Quartet (France), Paysages Nomades (France), Le Bal de Christian Maes Quartet (France), Hilarious Darkness (Dijon), Markus Stockhausen (Allemagne), Benoit Delbecq & le Break (Paris), Steve Argüelles (Angleterre), Tinariwen (Mali), Shrink Orchestra & Zaouli Percussions (Dijon), Mei Tei Sho & Java (France), Antibalas Afrobeat Orchestra (New York), Boum Ba Clash « The Drum Messengers » (France), Sainkho Namtchylak (Tuva), Bombes 2 Bal (Toulouse), Rokia Traoré (Mali), Weird MC (Nigéria / Angleterre), Diabless (Dijon), la Banda de Santiago de Cuba (Cuba) et les harmonies de Vénarey-les-Laumes, Pouilly-en-Auxois, St Apollinaire et Dijon, Les Chevals (Paris), Mahala Raï Banda (Roumanie), Electric Gypsyland (Allemagne – Roumanie), Cédric Ricard (Dijon)
- Mei Tei Sho invite R-Wan & Fixi (France)
- Paysages Nomades (France)
- Shrink Orchestra et Zaouli Percussions (France)
- « Secret de fabrique : une tradition comment ça marche » par Raphaël Thiery et Rémi Guillaumeau (France)
- « Les musiques noires de résistances » par Jacques Denis (France)
- « Music is the weapon » de Stéphane Tchal-Gadjieff et Jean-Jacques Flori (France)
- « Fanfares cubaines » avec la Banda de Santiago de Cuba et les harmonies de Vénarey-les-Laumes, Pouilly-en-Auxois, Saint-Apollinaire et Dijon
- « Batucada Brésilienne » avec la Compagnie Taxi Brousse, l’école de musique de Saint-Apollinaire, et une cinquantaine de musiciens amateurs
« Au pas de la moutarde, le festival Tribu assaisonne depuis six ans les lieux et places de Dijon et alentours avec une programmation musicale éclectique (dont une bonne partie à l’accès gratuit) saupoudrée de vidéos, conférences et expositions. D’ici ou d’ailleurs se téléscopent pendant une semaine quelques piquantes expressions vernaculaires, parfois peu représentées, tel le vertigineux chant de la Sibérienne Sainkho Namtchylak (…) » Dominique Queillé - Libération
« Une politique de petit prix, une direction artistique qui privilégie les découvertes, un esprit de famille qui a pris le temps et le soin de s’installer, le Tribu étonne et détonne face aux grandes opérations et tournées qui rythment la saison festivalière. À l’image des trois groupes invités à représenter la scène polonaise ou ceux de la carte blanche offerte au batteur Steve Arguëlles, la programmation 2004 affichait des partis pris auxquels le public a adhéré. Emblématique de cette démarche aussi curieuse que transversale, la soirée placée sous le signe du Black Spirit (…) » Jacques Denis - VIBRATIONS